Les provinces occidentales de Cuba

Pour se rendre dans les Provinces occidentales, il convient de partir par l’ouest de la Havane. On traverse le quartier élégant de Cubanacan. Construites pour l’aristocratie du sucre,  les demeures abritent aujourd’hui les diplomates.

La route de l’Ouest

On longe ensuite une zone maraichère avant de raccrocher l’autoroute pour Pinar del Rio Il faut compter plus de 2h pour 185 km . En route vous verrez des petits vendeurs de fromage, de gibier surgir sur les routes, mais aussi des chars à bœufs… 

A 1h de la Havane, vous apercevrez  à votre droite une chaine de petites montagnes la chaine du Rosario où vous pouvez vous arrêter pour découvrir notamment Soroa et las Terrazas.

Vous aurez alors deux options, soit tourner vers Vinales, soit continuer vers la capitale provinciale, Pinar del Rio . La ville s’est beaucoup améliorée ces dernières années. On peut y visiter  une fabrique artisanale de rhum et une de cigares. Le petit centre ne manque pas de charme. Cerise sur le gateau, on peut rentrer dans le Palais des mariages, voire y organiser une fête.

Vinales , l’încontournable

A l’approche de Vinales, on peut faire un détour au mirador de los Jazmines. Les paysages sont spectaculaires et uniques dans les Caraïbes : les “mogotes” sont d’étranges collines calcaires couvertes de végétation qui évoquent les buttes karstiques de la Chine du Sud. Je ne vous conseille pas de payer pour le mural de la préhistoire, gros gribouillage sur la montagne, et je ne suis pas fan de la grotte de l’Indio sauf s’il n’y a personne. Je vous conseille plutôt d’aller vous installer dans votre casa et de demander une balade à cheval. Vous pouvez aussi partir sur le chemin qui passe devant une plantation à tabac , vous pouvez y entrer et vous faire expliquer le processus. Inutile d’acheter leurs cigares qui sont infects et hors de prix…. Vous trouverez mieux dans les magasins !!!! En continuant le chemin vous atteindrez la grotte de la Vache, si vous êtes marcheur c’est le début de superbes balades dans les champs de tabac.

La côte de la Havane à Maria la Gorda

En poussant plus loin dans les Provinces occidentales, au bout de routes improbables, on parvient sur les côtes. Plusieurs options s’offrent à vous. 

– Pour les amateurs de plongée qui ne craignent pas les kilomètres sur des pistes défoncées, Maria la Gorda  s’impose. Située à l’extrémité de la péninsule occidentale, c’est un finisterre idéal pour la plongée. Un petit hôtel cubain, des casas particolares offrent les seuls choix pour dormir. Qu’importe vous êtes là pour profiter des fonds marins. Et ils valent le déplacement.https://www.gaviotahotels.com/es/hoteles-en-cuba/pinar-del-rio/maria-la-gorda

– Pour les amateurs de calme et de vie sauvage, cayo Levisa est une magnifique option. A éviter le week end puisque l’Ile déserte se mue en camp d’expatriés. En dehors des fins de semaine donc seul un petit hôtel médiocre marque la présence humaine sur un ilôt de sable blanc immaculé. Seule difficulté, il ne faut pas manquer le bac qui vous emmène sur l’île enchantée. http://www.hotelcayolevisa-cuba.com/

– D’autres plages magnifiques mais difficiles d’accès se méritent comme la Altura ou Cayo Jutia. Là encore il faut endurer des kilomètres de pistes quasi insalubres pour approcher des ces plages de sable blanc. A éviter pendant les vacances cubaines , de la mi-juin à la mi-septembre sous peine de voir votre plage paradisiaque se transformer en décharge sauvage…Cayo Jutia

Les Cotswolds

Les Cotswolds sont une chaîne de collines douces du sud-ouest de l’Angleterre. Entre Stanford-upon-Avon, Bath et Cheltenham, de charmants villages typiques de grès couleur miel la parsèment. Un charme bucolique mais différent émane de chacun d’entre eux. https://www.cotswolds.com/francais

Des villages semblables mais différents

Pour autant, certains villages des Cotswolds se sont construits pour des raisons stratégiques, au carrefour entre deux comtés ou sur un axe important, tel Burford. Dans ce cas, les maisons s’échelonnent le long d’une grande rue traversante.

Burford
La halle de Chipping Camden

D’autres, comme Chipping Camden ou Cirencester, la seule ville de la région et considérée comme la capitale des Cotswolds, doivent leur développement à la laine. Ces gros bourgs s’articulent alors autour de la place du marché et de sa jolie halle. Dans un cas comme dans l’autre, la richesse de la région entre les XIVe et XVII e s. explique la beauté des constructions. Maisons à colombages, fenêtres à meneaux, toits de chaume attestent de la prospérité de ces gros villages admirablement entretenus. Les touristes ou citadins fortunés ne s’y trompent pas et réinvestissent avec bonheur cette campagne magnifiquement préservée et ces collines ignorées par la révolution industrielle. Du coup, les jolies bourgades fleuries et la nature proprette font figure d’image d’Epinal avec ses moutons. Introduits très tôt dans l’histoire pour déforester ils sont encore élevés pour leur laine et non leur lait. Ainsi, on ne trouve pas de fromage de brebis au Royaume-Uni mais des lainages.

Broadway

Chaque village est différent et présente un charme unique. On peut aimer la beauté des toits de chaume admirablement préservés et le charme tranquille de Chipping Campden. Ou on peut préférer la grande rue entourée de champs de Broadway, avec une magnifique marche vers la tour-château.

Tour de Broadway

Mais on peut également opter pour l’élégance et les antiquaires haut de gamme de Tetbury, tout près d’Highgrove la propriété aux fantastiques jardins du Prince Charles https://www.highgrovegardens.com/

Tetbury

Des visites selon les envies

Si l’on vient d’Oxford on peut aborder les Costwolds par Burford, un lieu ravissant malheureusement envahi par un flot ininterrompu de voitures et touristes. A moins que l’on ne préfère les bords de l’eau à Bourton-on-the-water. Cinq jolis petits ponts traversent la rivière Windrush très peu profonde. Le tout petit village de Bibury lui, est remarquable pour Arlington row, une rangée de maisonnettes du XIVe s.

Bibury, maisons du 14e siècle

Le charmant village de Winchcombe, marque le point de départ de nombreux sentiers de randonnée. En effet, de nombreux chemins bien indiqués partent de chaque village. Un grand sentier balisé et entretenu relie même Chipping Campden et Bath sur une distance de 164 km. https://www.nationaltrail.co.uk/en_GB/trails/cotswold-way/

Non loin, on découvre un site de l’Age du bronze, isolé et remarquable, le tumulus de Belas Knapp  de -3000.

https://www.english-heritage.org.uk/visit/places/belas-knap-long-barrow/?utm_source=Google%20Business&utm_campaign=Local%20Listings&utm_medium=Google%20Business%20Pr

Belas Knapp, le tumulus

Les amateurs de marches, de beaux paysages, de villages de charme, seront ravis : https://www.alltrails.com/fr/parks/england/wiltshire/cotswolds-area-of-outstanding-natural-beauty

Bibury, Arlington Row

Les differentes Provinces de Cuba

A Cuba, comme dans beaucoup de pays centralisés, on peut opposer la capitale et les provinces. Celles-ci apparaissent très rapidement dans l’histoire de la colonie.

Les fondations

Lorsque Colomb aborde sur l’Ile dès son premier voyage en 1492, il ne fait qu’en effleurer la pointe orientale. Puis la conquète commence, et avec elle la fondation des 7 villes coloniales dans les années 1515. Baracoa, Santiago qui deviendra rapidement capitale, Bayamo, Camaguey, Sancti Spiritus, Trinidad et enfin Saint Christophe qui deviendra capitale en 1609.

Les noms des colonies nous renseignent d’ailleurs sur l’absorption graduelle pour mieux le faire disparaitre de l’héritage tainos local. Les colons fondent tout d’abord sous des noms catholiques, comme l’Ile Juana, et ses capitales Santiago puis san Cristobal. L’hommage au fils des Rois Catholiques , l’Infant Juan, sera bientôt absorbé dans un nom autochtone. Cuba désigne vraissemblablement le territoire des Tainos. De même Cristobal reprendra le nom du chef qui a légué le terrain Habaguanex, Habana, Havane en Français.https://visitesfabienne.org/cuba/la-havane/

Organisation administrative

Cette colonisation porgressive de l’Ile va de pair avec un accroissement démographique. Si le peu d’autochtones disparaissent sous le joug des conquérants, des esclaves sont amenés d’Afrique. L’ile s’organise d’une manière administrative avec la séparation en deux unités provinciales orientale et occidentale, dirigées par le Gouverneur ou son représentant.

Cuba se développe véritablement au XVIIIeme et la Havane s’affirme comme sa capitale profitant de sa situation triplement avantageuse. Sa baie est en effet abritée des cyclones qui frappent les extrémités de l’Ile. Par ailleurs elle fait face aux côtes américaines. Enfin, elle se trouve à proximité de l’autoroute naturelle que représente le Gulfstream, courant chaud qui se dirige vers l’Europe. Les provinces orientales et occidentales se détachent peu à peu de cette Province centrale.

Depuis la Révolution on a assisté à un découpage en 15 Provinces, chacune redécoupée en municipes. Pour autant, la division coloniale entre Provinces occidentales, centrales et orientales perdure.

D’ailleurs l’opposition continue à rse creuse entre une région centrale plus riche et drainant la majeure partie du tourisme, la zone occidentale consacrée au tabac et l’Orient, lointain et pauvre. A tel point que les habitants de la capitale qualifient leurs concitoyens originaires de l’Est de l’Ile de Palestinos. Les originesdes descendants d’esclaves appelés dans les plantations de sucre, l’accent proche de celui de la Dominique voisine, les moeurs sont la risée des Havanais.

Second Itinéraire Street Art à Bristol

Au départ de Cabot circus ou du terminal d’autobus l’idée est de rejoindre Stoke Crofts pour un second itinéraire Street Art à Bristol. https://visitesfabienne.org/destinations/royaume-uni/bristol-figure-de-proue-du-street-art-2/

Stoke Crofts

Toute la rue York est peinte mais les œuvres les plus connues se situent à the Canteen un centre communautaire avec un Jésus faisant des étirements. Il a été badigeonné de bleu. Juste en face, l’une des oeuvres les plus connues de Banksy « Mild Mild West » de 1999, déjà commentée dans mon article sur l’artiste.

On traverse Stoke crofts vers Ashley road.

Montpelier

On tourne immédiatement à gauche sur Picton Street et à gauche devant le joli pub Bristolian, Picton lane très couverte de  graffitis. Au débouché de cette ruelle, on traverse Armdale vers le Bath Building . Juste en face, Banksy encore a peint take the money and run, run. L’œuvre a été rafraichie récemment.  je vous conseille alors de vous rendre usqu’à la gare de Montpelier pour découvrir les fabuleuses créations de Silent Hobo. http://silenthobo.co.uk/

La promenade continue en redescendant York Streeet et reprenant Picton Street. Juste après la petite place (quasiment en face du take the money de Banksy) sur la droite un émouvant hommage post mortem et en se retournant et dessus de la boutique végétarienne un joli renard poétique. En face, la boutique d’Alex Lucas, auteure des jolis lapins qui glapissent sur les murs de Bristol.https://greatwhiteart.com/artist/alex-lucas/

On va alors rejoindre Wellington avenue et prendre à gauche à la boulangerie sur Woodmancote Rd. Un bel hommage de DeamGina pour Comfort orne le mur. On remonte alors la rue et  on prend à gauche Ashley road.  A l’angle de Morrisville road on découvre un hommage de Michele Curtis puis à l’angle de Albert Park un drôle de chameau. En continuant dans la même direction chaque rue sur la gauche recèle des surprises.

Puis on va rejoindre Lower Ashley Road pour découvrir une extraordinaire peinture montrant la Reine d’Angleterre en position de yogi. On peut alors jeter un coup d’œil au mur en contrebas du pont routier. Mais il est souvent repeint.

On retourne alors sur Ashley Rd jusqu’à l’hommage de Michele Curtis, auteur de sept portaits géants de personnalités du quartier Saint-Paul.

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est michele-curtis-parc-st-agnes.jpg.

https://www.bristolpost.co.uk/news/bristol-news/seven-saints-appearing-st-pauls-2689092

Cette rue est d’ailleurs un véritable festival, on peut s’arrêter à chaque intersection pour se régaler des créations colorées par Inkie notamment. https://en.wikipedia.org/wiki/Inkie

Brighton Street décorée pendant le festival jamaïcain jusqu’à la Place Saint Paul vaut un petit crochet. Sinon, on peut directement remonter York et déboucher sur City Street puis Stoke Croft.

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est bristol-cancan.jpg.

Itinéraire Street Art à Bristol

L’abondance des œuvres murales est telle à Bristol que l’on peut passer plusieurs jours à regarder les murs. Cependant, les œuvres sont par essence éphémère. C’est pourquoi, je n’indique cet itinéraire Street Art, qu’à titre indicatif. Pour plus de renseignements, vous pouvez me contacter directement.

Silent Hobo

Un itinéraire Street Art au départ de la cathédrale

Pour autant, vous pouvez toujours commencer juste en face de l’Hôtel de ville, sur College Green. Sur le petit pont, vous verrez une des œuvres les plus connues de Banksy : Well hung lover, déjà évoqué dans l’article :

Juste en dessous, le mur est utilisé par des personnalités qui profitent de la notoriété de Banksy. De l’autre côté de l’escalier, on voit un renard de Silent Hobo, un artiste local fantastique.

On descend l’escalier (Frogmore Street) et en arrivant face au pub Hatchett Inn, on se retourne face au « Big Deal » de JPS, un émule de Banksy sauvé de la marginalité par le mouvement Street Art. Cet artiste de Weston super Mare utilise lui aussi des pochoirs. Sur le mur de gauche se succèdent le gladiateur hommage à l’acteur du film Spartacus et le chat.

JPS “Big Deal”

Le Street Art dans le centre de Bristol

On prend sur la droite Denmark Street pour rejoindre l’esplanade du Centre. On remonte maintenant Clare Street qui va se transformer en Corn Street. Mais on tourne juste après la jolie librairie Stanford dans un petit boyau sur la gauche (Léonard Lane).  Les murs de cette ruelle malodorante sont recouverts en permanence par les artistes locaux.

Au sortir de ce boyau, à gauche on débouche sur small street et on s’engage dans Bell Street où en se retournant à mi parcours on va découvrir les créations du festival  See no Evil  de 2011 destiné à colorer la grise rue Nelson.

El Mac
http://Bristol, figure de proue du Street Art

à gauche sur le revers de façade, un duel non fini de l’Irlandais Conor Harrington. Un peu plus loin sur la gauche, la jeune femme au bébé de El Mac réalisée à l’aide de projections. On débouche alors sur Nelson Street. A droite, se détache le Disco dog de Ary, un énorme loup habillé et coloré.

Conor Harrington
Ary “Disco Dog”

 Puis l’énorme figure stylisée de Stik. Cet ancien sans abri est très connu pour ses stickmen et son style très épuré et simple.

Vient ensuite Pixel Pancho, reconnaissable par la singularité de ses œuvres, des animaux machines. Cet artiste a travaillé “free hand”et très rapidement pour cet oiseau mécanique qui occupe un pan de mur entier.

De là, on peut rejoindre l’itinéraire 2 ou prendre un verre dans un des pubs ou salons de thé du quartier de Cabot Circus.

Cornouailles

Superbe destination de vacances, la Cornouailles offre des kilomètres de plages magnifiques.

Newquay

L’intérieur de la péninsule a été malheureusement assez abimé par l’exploitation du kaolin et les paysages sont enlaidis par les mines. https://www.info-chimie.fr/kaolin-imerys-se-reorganise-en-grande-bretagne,17886.

Certains ont néanmoins profité d’un cratère pour exploiter la précieuse matière et aménager un parc environnemental ambitieux le Eden Project. https://www.edenproject.com/

Les petits ports de la côte sud

Le sud de la péninsule s’ouvre sur des criques et de petits ports de pêche charmants tels Fowley, Charlestown ou Falmouth. Après avoir traversé les étendues sauvages de Lizard Peninsula on parvient à Penzance. Cette ville, en fin de ligne ferroviaire a beau être une étape renommée, elle n’est guère attrayante avec son vieux centre en déliquescence. En dehors du joli jardin tropical on y sent de grosses difficultés sociales et économiques. Au loin, l’ile-Mont Saint Michel n’est plus accessible. Son monastère, petit frère du français, est devenu une propriété privée qui ne s’aperçoit que depuis la mer.

En revanche, le port tout proche de Mousehole est adorable avec ses petites maisons de pêcheurs alignées le long d’une digue microscopique.

La végétation dans cette extrémité baignée par le Gulf Stream est incroyable. On se croirait sur la Côte d’Azur. Les acanthes géantes voisinent avec les palmiers et figuiers dans une luxuriance impressionnante. Cette fin de terre nous mène aux magnifiques plages de Porthcurno célèbre pour son théâtre de plein air creusé à même la falaise. https://www.minack.com/

Ces terres occidentales s’arrêtent à Land’s end, une lande désolée malheureusement enlaidie par un grand complexe d’amusement.

La côte Nord, paradis des surfeurs

La côte Nord offre quant à elle une succession de grandes plages de sable blanc. Ainsi le ravissant village de Saint-Ives, véritable Vence ou Pont-Aven local draine-t-il depuis plus d’un siècle les artistes. Un très beau musée jardin rend d’ailleurs hommage à la grande sculptrice Barbara Hepworth. https://www.tate.org.uk/visit/tate-st-ives/barbara-hepworth-museum-and-sculpture-garden . Le grand vaisseau disgracieux de la Tate offre, quant à lui, de belles collections d’art moderne pour une terre si reculée. https://www.tate.org.uk/visit/tate-st-ives.

 Au-delà du charmant port, trois magnifiques plages attirent qui les familles, qui les surfeurs dans un cadre digne des Caraïbes. https://www.youtube.com/watch?v=FwZMi3kzI8U

La Cornouailles est de fait une destination privilégiée des surfeurs qui se retrouvent notamment sur les extraordinaires plages de Newquay. Si la ville est un peu effrayante avec ses baraques à fish and chips et ses constructions de villégiature bon marché, l’environnement naturel lui est assez fantastique. Cependant, si la foule vous rebute trop vous pouvez tenter Bude un peu plus loin sur la côte, tout en prévoyant un arrêt gastronomique dans le ravissant port de Padstrow, connu pour ses fruits de mer. Un long chemin aménagé du bord de mer à l’estuaire  propose des points de vue magiques sur les longues plages de sable doré abritées par des dunes verdoyantes.

Une belle région à visiter hors des périodes d’affluence

Enfin, on ne peut quitter cette magnifique région sans rendre hommage à son plus valeureux héros, le roi Arthur. La légende assure qu’il serait né au château de Tintagel tout près de la grotte de Merlin. Tout autour les localités nous rappellent d’ailleurs que si Arthur relève de la mythologie, celle-ci se fonde certainement sur une réalité historique et a laissé des traces topographiques. On traverse en effet des lieux-dits aux noms évocateurs tels Lancelot, Perceval pour rejoindre le Devon puis le Somerset. C’est en effet dans ce Comté que la légende fait mourir le Roi Arthur https://visitesfabienne.org/glastonbury/

La Cornouailles est une zone de villégiature très prisée en été malgré le climat aléatoire. Néanmoins, si vous ne prisez pas le tourisme de masse, la saison hivernale s’impose pour visiter ces belles terres occidentales. Quitte à les voir sous un ciel pluvieux, autant s’y préparer et éviter les foules estivales. Les températures sont assez douces toute l’année et les précipitations fréquentes. Du coup, la variation climatique ne justifie pas de devoir supporter les hordes aoûtiennes.

Pont du chateau de Tintagel

Pour profiter des petites villes au charme intact et des magnifiques plages, il faut compter au moins trois belles journées. On peut tout à fait apprécier les lieux sans s’adonner au surf, il suffit d’apprécier la nature, la marche et les beaux paysages.